Un groupe de travail sur l’égalité femmes-hommes va prochainement se tenir le 22 juin 2018.
La CFDT sera représentée par Sandra Garcia et Christiane Maridat.
Ce groupe de travail, à la demande de la CFDT, seule et ce depuis 2 ans, va permettre d’aborder :
- conciliation vie professionnelle/ vie personnelle ( allongement des plages horaires , télétravail, temps partiel, etc…)
- accès aux postes à responsabilité pour les femmes au sein du SDIS de la Gironde
- mise en oeuvre de la lutte contre les discriminations
… autant de sujets qui ont déjà été abordés par la section lors de la présentation du rapport annuel sur l’égalité professionnelle femmes-hommes au cours des différents comités techniques.
Nos revendications sur le sujet, déjà exprimées en instance et lors de la rencontre avec le Président du SDIS, sont prêtes!
Vos suggestions ou remarques sur ce thème sont les bienvenues ( sdis33cfdt@gmail.com ou sur notre site)
Je suppose que la ou il est écrit allongement des plages horaires il faut comprendre réduction des plages fixes…
Il serait temps,en effet, que le sdis progresse sur sa vision du temps de travail et de la conciliation vie pro /perso et qu’il comprenne qu’un agent épanoui a son travail travaille mieux, plus efficacement et reste à son poste au lieu d’aller voir ailleurs.
Aujourd’hui la politique rh est absurde…
Le logiciel de temps de travail pourrait apporter de la souplesse sur les plages fixes mais non, ça ne sert qu’à fliquer et compter les absences.
Le temps de travail des temps partiels est juste horrible à gérer pour les agents, mais si on part du point de vue que ça a été pensé pour être dissuasif et éviter les temps partiels on comprend mieux pourquoi c’est comme ça.
Le télétravail pourrait être mis en œuvre facilement, le git a déjà mis en œuvre des outils pour avoir accès au réseau sdis depuis l’extérieur, ce n’est qu’une question de volonté.
Sans parler du temps de travail compté pour les formations, la aussi c’est certainement pensé pour dissuader d’aller se former…
Quant aux perspectives professionnelles elles sont particulièrement bouchées pour les femmes car très peu représentées côté spp, et côté pats, les postes à responsabilité sont quasi systématiquement confiés à des spp que le sdis choisit d’occuper sur des missions pour lesquelles ils n’ont pas la compétence ni métier ni managériale (mais faut bien les occuper et tant pis s’ils font plus de mal que de bien de toutes manières ils ne prennent pas de décision importante puisque tout remonte au directeur) . Comme les spp sont majoritairement des hommes, ça donne des strates d’encadrement composés principalement d’hommes ce qui n’aide pas les femmes à occuper ces postes et ne participe pas à l’évolution des mentalités…
Courage pour ce groupe de travail, y’a du boulot !